Jamie please don't stop the music!

Publié le par escale-a-paris.over-blog.com

16 décembre, 19H. Dédale des travaux dans tous les recoins du périph, classique engueulade autour du GPS de l'Iphone :"mais je t'avais dit de tourner à gauche!""mais l'Iphone il ne se met pas à jour de façon instantanée". Ahhhh...Qu'importe, l'humeur est légère, ce soir nous sommes de concert, et ça faisait bien longtemps que ça n'était pas arrivé. 
Zénith, 21H. Voir Jamie Cullum faire le fou, sauter partout même au-dessus de son tabouret de piano et tomber, rire, chanter, et regretter de ne pas être dans la fosse pour danser. Cet uluberlu est une bête de scène, entraînant le public dans des rythmes jazz qui pourraient être considérés comme d'un autre temps, mais non; il les revisite sans cesse et ne semble pas vouloir quitter son piano. Il nous transporte pendant 2 heures, nous faisant frissonner de sa voix, provoquant un tonnerre d'applaudissements du public.

Pendant ce temps-là, mettre sa tête au creux du cou de son amour, respirer son parfum et se souvenir de tous les concerts précédents, surtout les tout premiers, quand tout restait à faire, quand tout restait à venir. Se dire qu'il y en aura encore bien d'autres et qu'il est bon de renouer avec cette ancienne vie, quand il n'était pas encore question d'études, de concurrence et de 700 kilomètres.

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